Prime de partage de la valeur 2025 (PPV, Prime Macron)

Prime de partage de la valeur
Sommaire
L’ARTICLE EN BREFCONTENU
ObjetPrésenter la prime de partage de la valeur (PPV), aussi appelée prime Macron, et ses évolutions en 2025.
Public concernéEmployeurs (droit privé, indépendants, associations…) et salariés (CDI, CDD, intérimaires, travailleurs handicapés en ESAT…).
Montants et plafonds3 000 € ou 6 000 €/an, possibilité de 2 versements annuels et diverses conditions d’exonération.
Principales nouveautésMaintien d’un régime renforcé pour les entreprises <50 salariés, 2 PPV/an, affectation possible sur un plan d’épargne.
Aspects sociaux et fiscauxExonération de cotisations sociales dans la limite du plafond, CSG/CRDS, forfait social, et impôt sur le revenu.
Mise en placeDécision unilatérale ou accord collectif, avec critères objectifs et non discriminatoires.
FAQRéponses détaillées à 15 questions fréquentes (éligibilité, obligations, montant, critères, etc.).

La prime de partage de la valeur (PPV) en 2025 : ce qu’il faut savoir au 24 décembre 2024

La prime de partage de la valeur ou PPV revient sous les projecteurs en 2025, avec des contours redessinés qui concernent tant les employeurs que les salariés. Cette prime, encore communément appelée « prime Macron », reste un levier de pouvoir d’achat apprécié, d’autant plus que l’inflation continue de peser sur les ménages. Chez Myne, nous vous aidons à décortiquer cette mesure phare du gouvernement français. Notre article plonge au cœur de cette prime et explore ses récentes mutations : montants, conditions d’attribution, implications fiscales, et plus encore. Naviguant entre les opportunités et les défis qu’elle présente, nous vous offrons une lecture à la fois éclairante et pragmatique, indispensable pour comprendre comment la PPV influencera le paysage économique et social en 2025.

Quelles sont les conditions pour bénéficier de la prime de partage de la valeur en 2025 ?

Tout salarié est éligible à la prime de partage de la valeur (PPV), sans condition de rémunération. Néanmoins, il doit être titulaire d’un contrat de travail à la date de versement de la prime, à la signature de la décision unilatérale ou au dépôt de l’accord collectif. Les travailleurs temporaires ainsi que les travailleurs handicapés liés à un ESAT par un contrat de soutien et d’aide par le travail sont également éligibles. Les employeurs éligibles sont les employeurs de droit privé, y compris les travailleurs indépendants, les mutuelles, les associations ou les fondations, les syndicats, etc. Les EPIC (établissements publics à caractère industriel et commercial), les EPA (établissements publics administratifs) lorsqu’ils emploient du personnel de droit privé, les associations et fondations reconnues d’utilité publique ou d’intérêt général, ainsi que les ESAT sont eux aussi concernés. La PPV peut être mise en place par décision unilatérale de l’employeur ou par accord collectif.

Quel est le plafond de la prime de partage de la valeur en 2025

Le plafond de la prime est fixé à 3 000 € ou 6 000 € par bénéficiaire et par année civile. Néanmoins, des exceptions au plafond de 3 000 € existent pour les accords d’intéressement et de participation dans les entreprises de moins de 50 salariés. Les critères de modulation de la prime peuvent être fixés par accord collectif ou par décision unilatérale de l’employeur. Le régime social et fiscal de la PPV est aménagé et bénéficie d’un régime de faveur calqué sur celui de l’intéressement lorsqu’il est immédiatement disponible. Ainsi, la prime est exonérée de cotisations sociales, de contribution formation, de taxe d’apprentissage et de participation construction, dans la limite du plafond de 3 000 € ou 6 000 €. Elle reste cependant assujettie à la CSG/CRDS au titre des revenus d’activité, au forfait social pour la fraction exonérée de cotisations (dans les mêmes conditions que l’intéressement), et à l’impôt sur le revenu. Enfin, il est toujours possible de verser deux PPV par an et d’affecter la PPV sur un plan d’épargne salariale ou un plan d’épargne retraite.

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Régime social et fiscal de la PPV (prime de partage de la valeur)

Le régime social et fiscal de la prime de partage de la valeur (PPV) bénéficie d’un régime de faveur similaire à celui de l’intéressement lorsqu’elle est immédiatement disponible. La prime est exonérée de cotisations sociales, de contribution formation, de taxe d’apprentissage et de participation construction, dans la limite du plafond de 3 000 € ou 6 000 €. Elle reste soumise à la CSG/CRDS au titre des revenus d’activité, au forfait social pour la fraction exonérée de cotisations (dans les mêmes conditions que l’intéressement) et à l’impôt sur le revenu.

Pour rappel, la loi du 29 novembre 2023 — toujours applicable fin 2024 et prorogée pour 2025 — maintient un régime renforcé d’exonération pour les entreprises de moins de 50 salariés pendant trois années, permettant aux salariés ayant perçu une rémunération inférieure à trois fois le SMIC annuel de bénéficier de l’exonération des cotisations sociales, de la CSG/CRDS et de l’impôt sur le revenu. En revanche, pour les entreprises de plus de 50 salariés, le régime renforcé d’exonération reste échu depuis le 31 décembre 2023, soumettant de fait les PPV distribuées par ces entreprises à l’impôt sur le revenu et à la CSG/CRDS. Les pouvoirs publics n’ont pas annoncé de nouvelle prorogation spécifique pour 2025 sur ce point, mais restent attentifs aux retombées économiques de la PPV.

Loi du 29 novembre 2023 : quelles sont les nouveautés concernant la PPV en 2025 ?

Les nouveautés offertes par la loi du 29 novembre 2023 continuent de s’appliquer en 2025 et offrent aux employeurs et aux salariés davantage de flexibilité dans la gestion et l’utilisation de la prime de partage de la valeur :

  1. Possibilité de verser deux PPV par an : depuis le 1er décembre 2023, les employeurs peuvent verser deux PPV par année civile, dans la limite du plafond d’exonération de 3 000 € ou 6 000 € (PPV cumulées).
  2. Possibilité d’affecter la PPV sur un plan d’épargne salariale ou un plan d’épargne retraite : les salariés bénéficiaires d’une PPV peuvent choisir d’affecter tout ou partie de cette prime sur un plan d’épargne salariale ou un plan d’épargne retraite, sous réserve des modalités spécifiques prévues par décret.
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Questions fréquentes sur la prime de partage de la valeur (FAQ)

1. Qui a droit à la prime de partage de la valeur ?

Tous les salariés d’une entreprise peuvent être éligibles à la PPV, en fonction des critères définis par l’employeur ou par accord collectif. Cela inclut les salariés en CDI, en CDD et les intérimaires, ainsi que les travailleurs en ESAT lorsqu’ils disposent d’un contrat de soutien et d’aide par le travail.

2. Est-ce que l’employeur est obligé de verser la prime Macron ?

Non, le versement de la prime Macron n’est pas une obligation légale pour l’employeur. Il s’agit d’une mesure incitative, dont la mise en place relève de la volonté de l’employeur ou de la conclusion d’un accord collectif.

3. Quel est le montant de la prime de partage de la valeur ?

Le montant de la PPV est variable et dépend des décisions prises au sein de l’entreprise. En principe, il existe un plafond légal (3 000 € ou 6 000 €), mais les entreprises peuvent moduler le montant effectif selon des critères qu’elles définissent (ancienneté, performance, temps de travail, etc.).

4. Qui est concerné par la PPV ?

La PPV concerne tous les salariés d’une entreprise, sous réserve des conditions fixées par l’employeur ou par un accord collectif. Les critères d’éligibilité doivent néanmoins respecter les principes de non-discrimination et d’équité.

5. Comment savoir si j’ai le droit à la prime Macron ?

Pour savoir si vous avez droit à la prime Macron, vous devez vous rapprocher de votre employeur ou du service des ressources humaines de votre entreprise. Ils pourront vous informer des critères d’éligibilité retenus et de la date éventuelle de versement.

6. Pourquoi l’employeur ne donne pas la prime Macron ?

L’employeur peut choisir de ne pas verser la prime Macron pour diverses raisons, notamment financières ou stratégiques. Chaque entreprise dispose de sa propre politique et doit jongler avec ses contraintes budgétaires et ses priorités managériales.

7. Comment exclure un salarié de la PPV ?

Pour exclure un salarié de la PPV, l’employeur doit se baser sur des critères objectifs, transparents et non discriminatoires (ex. ancienneté, temps de travail, présence effective). Le non-respect de ces critères pourrait être considéré comme une discrimination illégale et exposer l’entreprise à un contentieux.

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8. Quand sera versée la prime Macron en 2025 ?

La date de versement de la prime Macron en 2025 dépend de la décision de chaque entreprise, laquelle doit respecter la limite de l’année civile pour un éventuel avantage fiscal et social. Il est donc possible que certaines entreprises versent la prime dès janvier, tandis que d’autres attendent la fin de l’année pour prendre leur décision définitive.

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9. Quand est versée la prime de partage de la valeur ?

La prime de partage de la valeur est généralement versée une fois par an. Toutefois, depuis la loi du 29 novembre 2023, il est possible d’en verser deux par an, ce qui offre une plus grande flexibilité aux employeurs et aux salariés.

10. Est-ce que la prime de partage de la valeur est à déclarer à la CAF ?

Oui, la prime de partage de la valeur doit être déclarée à la CAF. Cette déclaration peut avoir un impact sur le calcul de certaines aides sociales, comme la prime d’activité ou l’APL.

11. Comment mettre en place la prime PPV ?

Pour mettre en place la PPV, l’entreprise peut choisir de passer par une décision unilatérale de l’employeur ou de conclure un accord collectif. Dans les deux cas, il est essentiel de définir clairement les critères d’attribution et les modalités de versement pour respecter la réglementation en vigueur.

12. Est-ce que la PPV doit être versée à tous les salariés ?

Non, la PPV ne doit pas forcément être versée à tous les salariés. L’entreprise peut fixer des critères d’éligibilité (ancienneté, présence effective, etc.), mais elle doit veiller à respecter les principes de justice et d’égalité de traitement.

13. Est-ce que la PPV compte pour la retraite ?

Non, la PPV n’est généralement pas prise en compte dans le calcul des droits à la retraite. Les cotisations de retraite ne s’appliquent pas sur la prime lorsqu’elle est exonérée, ce qui ne génère donc pas de droits supplémentaires.

14. Est-ce que la prime PPV est imposable ?

Oui, la prime PPV est soumise à l’impôt sur le revenu. Toutefois, elle peut bénéficier d’exonérations de cotisations sociales sous certaines conditions, notamment pour les entreprises de moins de 50 salariés et sous réserve du plafond applicable.

15. Puis-je verser la prime Macron à un seul salarié ?

Oui, il est possible de verser la prime Macron à un seul salarié, dès lors que les critères d’attribution sont clairs, objectifs et non discriminatoires. Cette décision doit néanmoins être cohérente avec la politique globale de l’entreprise et respecter le cadre légal en vigueur.


En ce 24 décembre 2024, la prime de partage de la valeur (PPV) s’impose donc encore comme un outil phare pour 2025, permettant de soutenir le pouvoir d’achat des salariés tout en offrant aux entreprises une certaine flexibilité. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire, elle constitue un levier social et managérial précieux dans un contexte économique toujours incertain. Pour aller plus loin, n’hésitez pas à vous rapprocher de votre expert-comptable ou de votre service des ressources humaines, afin de bénéficier d’un accompagnement adapté dans la mise en place de la PPV.

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Cette taxe contribue au financement des collectivités locales et son calcul peut varier d'une commune à une autre. Qui est concerné par la CFE ? Toutes les entités ayant une activité non salariée sont susceptibles de devoir s'acquitter de la CFE. Cela inclut les auto-entrepreneurs, micro-entrepreneurs, associations ayant une activité lucrative et évidemment les entreprises plus traditionnelles, qu'elles soient commerciales, artisanales ou libérales. Les nouvelles entreprises bénéficient généralement d'une exonération temporaire la première année, ce qui leur laisse le temps de se développer avant d'être imposées comme toute autre entreprise. Il est cependant crucial de vérifier son éligibilité et d'anticiper cette charge fiscale. Pour mieux anticiper vos obligations fiscales, il est également utile de savoir comment comptabiliser les remises de fin d’année en RFA. Exonérations possibles La législation française prévoit plusieurs cas d'exonération totale ou partielle de la CFE. 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Les démarches débutent généralement par la déclaration initiale à effectuer lorsqu'une nouvelle entreprise est créée. Cette déclaration doit être réalisée via le formulaire 1447, disponible sur le site du service public. Ensuite, la déclaration est à renouveler chaque année avant le 31 décembre pour signaler toute modification intervenant durant l’année (modification de surface, déménagement). La télétransmission est souvent requise, notamment pour les entreprises soumises à un régime réel d'imposition. Action Période Formulaire Déclaration initiale À la création de l’entreprise Formulaire 1447 Déclaration annuelle Avant le 31 décembre Télétransmission Modalités de paiement Le paiement de la cotisation foncière des entreprises se fait généralement en deux temps. Il existe un acompte payable au 15 juin de chaque année, représentant 50 % de la cotisation due de l'année précédente. Le solde de la CFE est à régler avant le 15 décembre de l'année en cours. Un aspect important de la gestion fiscale des entreprises est le calcul précis des taxes. Pour plus d'informations, vous pouvez apprendre comment calculer le prix HT et TTC, ce qui est indispensable pour éviter les erreurs lors de la déclaration de la CFE. Les entreprises ont également la possibilité d'automatiser leurs paiements via le prélèvement mensuel ou trimestriel, ce qui permet une répartition plus flexible de la charge financière. Cette option est très utilisée par les petites structures telles que les auto-entrepreneurs. Anticiper la CFE : nos conseils pratiques Pour bien gérer la cotisation foncière des entreprises, il est recommandé de suivre quelques astuces simples mais efficaces. Avant tout, il est primordial de bien connaître la valeur locative de vos biens immobiliers et de surveiller régulièrement les décisions locales relatives aux taux appliqués. Tenir à jour la valeur locative : Veillez à ce que la valeur locative utilisée soit toujours actualisée. 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